FIBA Basketball
Power Rankings : les premiers matches de préparation donnent des indications
TENERIFE (FIBA Women's Basketball World Cup 2018) - Il ne reste plus que quelques semaines avant le début de la Coupe du Monde féminine FIBA 2018. Voici notre seconde édition des 'Power Rankings'.
TENERIFE (FIBA Women's Basketball World Cup 2018) - Il ne reste plus que quelques semaines avant le début de la Coupe du Monde féminine FIBA 2018. Voici notre seconde édition des 'Power Rankings'.
RANG |
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(USA) Avec toute l'attention portée sur les Playoffs WNBA, la profondeur du réservoir américain est chaque jour démontrée par le nombre de joueuses américaines encore en course pour le titre. Breanna Stewart vient d'être élue MVP de la saison 2018, tandis que la légendaire Diana Taurasi semble avoir retrouvé toute sa jeunesse, prouvant si besoin est qu'elle est peut-être la meilleure joueuse de tous les temps. |
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(ESP) Les hôtes sont en train de monter en puissance et elles ont profité de l'avantage du terrain pour disposer de la Belgique et de la France au cours du weekend, à Valence. Marta Xargay (21 points) était en feu contre la France, tandis que Cristina Ouvina, qui joue en club à Bourges, a apporté 16 points dans la victoire 65-54. |
3 |
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(AUS) Les Opals viendront à Tenerife avec un effectif excitant, Leilani Mitchell héritant finalement du poste de joueuse naturalisée. À noter aussi la présence de la star montante Ezi Magbegor. Des doutes subsistent au sujet de la préparation, puisque que la coach Sandy Brondello est toujours occupée en WNBA. Difficile d'évaluer le niveau des Australiennes tant qu'elles n'auront pas joué plus de matches amicaux. Une de leurs forces réside indéniablement dans leur coach, qui saura prendre les bonnes décisions au bon moment, ce d'autant qu'elle aura à disposition une sélection pressentie pour trouver une place sur le podium. |
4 |
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(FRA) Les premiers matches amicaux de l'équipe de Valérie Garnier ont été une alternance de bon et de moins bon. Les Bleues ont peiné en attaque contre l'Espagne, avec la seule Sandrine Gruda véritablement à son affaire. C'est sur ses épaules que beaucoup des espoirs de la France reposeront pour son premier tournoi majeur depuis Rio, elle qui avait choisi de faire l'impasse sur le FIBA Women's EuroBasket de l'an dernier. Malgré la défaite contre l'Espagne, le résultat précédent - un net succès 82-66 contre la Lettonie - avait été convaincant, avec une Marine Johannes très affûtée. |
5 |
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(CAN) Les joueuses sont actuellement en camp d'entraînement et elles débuteront bientôt une série de matches amicaux. Elles affronteront le Japon et les USA à la fin de la semaine et il sera intéressant de voir où elles en sont. Les Canadiennes seront également engagées au tournoi d'Antibes (15-17 septembre), où elles rencontreront la France, le Sénégal et les USA. Sur le papier, le Canada semble avoir sa place dans le Top 5, voire dans le Top 3. Comment aura-t-il digérer les retraites internationales de certaines joueuses expérimentées ? |
6 |
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(BEL) Toujours privée d'Ann Wauters, les choses semblent moins bien se présenter ces derniers jours pour la Belgique, qui voit un autre trio de joueuses freinées dans leur préparation. Battue par l'Espagne, elle a certes gagné contre la Lettonie 61-53, mais elle a perdu dans l'aventure sur blessures Kim Mestdagh, Antonia Delaere et, plus inquiétant encore, sa leader Emma Meesseman. Meesseman a paru sévèrement atteinte. Les chances de la Belgique se sont-elles envolées en même temps ? Nous tenons les pouces pour que l'une des attractions du tournoi puisse être rétablie d'ici le début de la compétition ! |
7 |
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(CHN) - La Chine a remporté la médaille d'or des Jeux asiatiques, grâce aux performances de ses joueuses clés. Les Chinoises ont pris le dessus sur une Corée unifiée en finale, avec des belles contributions de la part de Ting Shao, Meng Li et Yueru Li. La Chine semble avoir trouvé la bonne carburation et son équilibre. Sous les ordres du coach Xu Limin, les Chinoises apparaissent dangereuses. |
8 |
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(ARG) Les prochains jours vont servir de test pour l'Argentine. Elle a gagné des rangs dans notre classement à la faveur de sa qualification pour la demi-finale - et vraisemblablement la finale - du Sudamericano Femenino. Les Argentines ont pris la première place de leur groupe grâce à leurs succès contre la Colombie, le Pérou et l'Équateur. Sauf faux pas, elles défieront le Brésil en finale. Avec un titre et le plein de confiance à la clé ? Les résultats dépendront grandement des performances d'Andrea Boquete et de Melisa Gretter, en forme actuellement. |
9 |
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(JPN) Malgré une médaille de bronze aux Jeux asiatiques, le Japon a choisi de travailler dans la continuité, sans changer son effectif. Les championnes d'Asie en titre semblent toujours bien armées sur le papier, en dépit de leur troisième rang à Jakarta. Nous nous réjouissons d'assister dans quelques jours au match Canada-Japon, qui permettra d'évaluer le niveau actuel des deux sélections nationales. |
10 |
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(TUR) - Petite progression pour la Turquie après ses deux succès en préparation contre la Russie. Certes, les Russes évoluaient sans leur star Maria Vadeeva, encore engagée en playoffs WNBA avec les Los Angeles Sparks. Les Turques ont réalisé de belles choses, notamment le duo composé de Quanitra Hollingsworth et de Tilbe Senyurek. |
11 |
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(KOR) Les Coréennes ont atteint la finale des Jeux asiatiques, mais elles l'ont fait avec une équipe unifiée. Cette exception politico-sportive va peut-être s'avérer coûteuse pour la Corée du Sud, dont la préparation s'en trouve un peu écourtée. Park Jisu s'est illustrée dans l'obtention de cette médaille d'argent, derrière la Chine. Ces deux prochaines semaines seront capitales pour solidifier l'équilibre du groupe après les Jeux asiatiques. |
12 |
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(PUR) Le Porto Rico grimpe au classement après avoir remporté le CentroBasket Women 2018 sur ses terres, huit ans après son dernier titre. En finale, il a pris la mesure de Cuba, grâce surtout à l'étincelante Jennifer O'Neill, MVP du tournoi. Ok, à part Cuba, le niveau n'était pas très élevé. Mais la confiance qu'apporte un titre n'est pas à négliger à quelques semaines de ses débuts dans la Coupe du Monde féminine FIBA. |
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(LAT) Même si la défaite contre la Belgique a été courte, cette dernière n'alignait pas son meilleur effectif. Plus inquiétant encore, il semblerait que le large revers contre la France à Valence n'a pas eu l'effet escompté. Le coach Martins Zibarts s'est plaint des errements offensifs de son équipe, en particulier de son manque d'efficacité en transition et sur la ligne des lancers francs. Il a toutefois tenu à rappeler que ce genre de matches servait justement à mettre le doigt sur les problèmes principaux à corriger avant le tournoi à Tenerife. |
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(NGR) Nous ne pouvons toujours pas évaluer le niveau des D'Tigress, puisque celles-ci n'ont pas encore affronté d'adversaire de premier plan au cours de sa préparation pour Tenerife. Les choses devraient toutefois changer durant les deux prochaines semaines. Le nouveau coach Otis Hughley ne sait toujours pas comment ses joueuses se comporteront face à une adversité telle que celle qui les attend en Espagne à la fin du mois. Beaucoup dépendra de la star de l'équipe nigériane, l'ailière Evelyn Akhator. |
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(GRE) Les résultats de la Grèce lors des derniers matches amicaux ne parlent pas en sa faveur - en dépit des efforts de la légendaire Evina Maltsi, qui a passé la barre des 3'000 points. Les Grecques ont perdu leurs deux récents matches face à la Belgique et elles doivent composer avec la blessure de Styliani Kaltsidou, qui a heureusement pu faire son retour au jeu depuis. Elles adorent endosser un rôle d'outsiders et elles s'estiment injustement mal classées dans nos 'power rankings'. À elles de montrer qu'elles méritent mieux. |
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(SEN) Il y a 5 nations classées moins bien que le Sénégal dans le 'FIBA World Ranking for Women', présenté par Nike, qui se rendront aussi à Tenerife. Mais le Sénégal occupe toutefois le dernier rang de notre classement. Aux Sénégalaises de prouver qu'elles n'y sont pas à leur place. |
*N.B. : Les 'power rankings' sont complètement subjectifs et ils ne sont en aucun cas un système de classement réel et précis. Tous les commentaires n'engagent que le(s) rédacteur(s).
Vous pouvez revoir les premiers 'Power Rankings' ICI.
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